Dans Revue Humanisme et entreprise de 1964, Pierette SARTIN écrit ceci: « personne ne songera à nier aujourd'hui que la vie des femmes qui cumulent une activité professionnelle aux horaires extrêmement lourds, aux cadences rapides, et une vie familiale (...)avec un budget modeste, la charge des enfants et du ménage, l'impossibilité de se faire aider ne soit trop souvent un enfer » .
Nous retrouvons beaucoup de femmes dans la commercialisation de la chair de poulet dans nos marchés et surtout dans la restauration. C’est d’ailleurs ce pan d’activité qui nous intéresse. Nous installons les femmes dans les différents quartiers d’Abidjan sous forme de mini restaurants afin de leur apporter des revenus mensuels.